vendredi 24 mars 2017

La Biographie de : HAMID BEDJAOUI

Auteur, compositeur - musicien et chanteur, "Cha�bi " (populaire) alg�rois. "Andalous" et "Rythmes Kabyles"... Ce parolier qui est aussi un remarquable narrateur et un compositeur de talent, naquit � B�dja�a, une ville o� se c�toient quotidiennement le bleu azur de la M�diterran�e et la teinte blanche des cimes enneig�es des montagnes de la Kabylie. B�dja�a, aux mille �vocations si ch�res � Hamid, fut dans le pass� une citadelle myst�rieuse et fascinante pour tant de corsaires m�diterran�ens. Ce site merveilleux qui �margea des tr�fonds n�buleux de l'antiquit�, s'identifiait progressivement � "YEMA GOURAYA" Sainte Patronne, protectrice des lieux et des po�tes. Beaut� sublime, B�dja�a ne pouvait �chapper du coup � l'�loge quasi dithyrambique d'un amant qui de surcro�t est un natif du lieu : - "YA B'JAIA...." (O BEDJAIA), ultime appel lanc� par Hamid depuis son pays d'exil, Paris, pour exprimer l'attachement int�rieur � la terre qu'il a d� quitter, voici maintenant 25 printemps : "YA B'JAIA" est un chant qui le replonge dans son NOSTOS : nostalgie d'une �poque inoubliable. Lorsque sous la houlette de hadj SADDEK, fondateur du cercle Musical Andalous, Hamid aff�tait patiemment ses 'cordes', afin d'accompagner les chants lancinants des marins p�cheurs, conjurant leur sort pr�caire... Enfin du peuple la musique " cha�bi " lui sied � merveille : elle lui "colle � la peau", pour reprendre les propos d'un intime. Nous avons la conviction, quant � nous, que Hamid refl�te le parfait musicien m�diterran�en. Il excelle fort bien dans le genre "cha�bi", "Andalous", "La qsida (qaca'id )", "le Hawzi" etc., sans omettre bien s�r les textes qu'il �crit et chante dans la langue de SI MOHAND (po�te - barde Kabyle du XXe si�cle d�butant).... Enfin, � l'instar de Dahmane ELHARRACHI, son ami de cour, � qui il rendit un hommage tr�s prononc� dans un texte d'une rare sensibilit�, Hamid a su surmonter la trag�die de l'exil gr�ce � un travail assidu de cr�ation musicale et po�tique. Sources : Ouali CHEKOUR

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